Insultes, caricatures, montages… Sur les réseaux sociaux, les climatosceptiques ne prennent pas de vacances. Ils ciblent scientifiques et vulgarisateurs, qui se demandent comment faire face.
Souvent les deux camps ont raison et/ou tord à la fois mais avec un regard différent (peu importe le sujet), l’éloignement et la spontanéité fait aussi que le contexte est rarement identique et le temps n’est pas là pour recontextualisé. Et sur des sujets extrêmement complexe, surement trop pour une personne même experte, ca paraît compliqué.
Pas sur que l’humain soit fait pour communiquer de cette façon, cette agitation on la retrouve en politique et c’est vers quoi ils tentent de s’éloigner, c’est plus simple de répéter des monologues en se bouchant les oreilles que de débattre avec des centaines d’opposants par jour.
Non, il y a des sujets sur lesquels il n’y a pas de camps. Le réchauffement climatique et la santé, par exemple. Par contre, il y a des gens qui pourrissent le débat avec une intensité proportionnellement inverse à leur compétence sur le sujet. Twitter n’est juste pas le bon médium.
Souvent les deux camps ont raison et/ou tord à la fois mais avec un regard différent (peu importe le sujet), l’éloignement et la spontanéité fait aussi que le contexte est rarement identique et le temps n’est pas là pour recontextualisé. Et sur des sujets extrêmement complexe, surement trop pour une personne même experte, ca paraît compliqué.
Pas sur que l’humain soit fait pour communiquer de cette façon, cette agitation on la retrouve en politique et c’est vers quoi ils tentent de s’éloigner, c’est plus simple de répéter des monologues en se bouchant les oreilles que de débattre avec des centaines d’opposants par jour.
Non, il y a des sujets sur lesquels il n’y a pas de camps. Le réchauffement climatique et la santé, par exemple. Par contre, il y a des gens qui pourrissent le débat avec une intensité proportionnellement inverse à leur compétence sur le sujet. Twitter n’est juste pas le bon médium.